Photos de haut en bas: le Quito Colonial depuis la basilique, l'avenue Amazonas, la rue Fransisco Sanchez barrio carcelen
Equateur- Quito
1,4 millions d´habitants - A la base du volcan Pinchicha 2800 m d'altitude
30 km de long - 5 rues de large.
Nous avons ete bien accueillies par la famille Astudillo qui habite dans le nord de la ville, un quartier qui s'appelle Carcelen.
On s'est balade dans la vieille ville coloniale :
On a visite la Iglesia de la Compañia de Jesus, consideree comme la plus chargee en or du pays.
On est monte voir Quito du haut des fleches de la Basilica.
Et parlant de tous ces lieux de culte, il est a peu pres certain que vous ne savez meme pas qu'il manque une pierre a la cathedrale et encore moins pourquoi.
Au moment ou l'on construisait la cathedrale de Quito, le señor Cantuña qui aimait bien faire la fete et qui ne concevait de bonne fete sans canelazos, passa, de nuit devant le chantier. A cette epoque le vieux Quito n'etait pas encore securise et rien de moins que le diable lui apparut.
Celui-ci, se deplaçant rarement pour rien lui proposa l'un de ses fameux pactes. Il lui dit a peu pres ceci:
" je finis la cathedrale avant minuit et si je n'y arrive pas, tu me vends ton ame."
Cantuña du fond de ses vapeurs d'alcool ne trouve rien a redire.
Le diable appelle ses diablotins et les met au travail. A minuit moins cinq, il appelle Cantuña pour qu'il verifie que le travail est bien fait.
Cantuña inspecte tous les recoins de la cathedraleilme trouve rien a redire, jusqu'a ce qu'il s'apperçoive qu'une pierre manque, mais il est trop tard, minuit est passe et il doit donner son ame.
Afin d'accomplir d'aussi simples formalites que de confirmer un billet d'avion, nous avons risque notre vie le long de l'avenue Amazonas, l'une des arteres principales du Quito moderne, ou chaque changement de trottoir est synonyme d'une acceleration brutale du rythme cardiaque tant la circulation est dense et chaotique.
La veille de notre depart pour Otavalo on est alle deguster des empenadas (galettes de mais fourrees) dans un Quito colonial nouvellement amenage pour la vie nocturne, eclaire et tres securise par des policiers gentils qui disent buenas noches, qui aident a faire des creneaux et qui referment les portieres.
Nous avons ete bien accueillies par la famille Astudillo qui habite dans le nord de la ville, un quartier qui s'appelle Carcelen.
On s'est balade dans la vieille ville coloniale :
On a visite la Iglesia de la Compañia de Jesus, consideree comme la plus chargee en or du pays.
On est monte voir Quito du haut des fleches de la Basilica.
Et parlant de tous ces lieux de culte, il est a peu pres certain que vous ne savez meme pas qu'il manque une pierre a la cathedrale et encore moins pourquoi.
Au moment ou l'on construisait la cathedrale de Quito, le señor Cantuña qui aimait bien faire la fete et qui ne concevait de bonne fete sans canelazos, passa, de nuit devant le chantier. A cette epoque le vieux Quito n'etait pas encore securise et rien de moins que le diable lui apparut.
Celui-ci, se deplaçant rarement pour rien lui proposa l'un de ses fameux pactes. Il lui dit a peu pres ceci:
" je finis la cathedrale avant minuit et si je n'y arrive pas, tu me vends ton ame."
Cantuña du fond de ses vapeurs d'alcool ne trouve rien a redire.
Le diable appelle ses diablotins et les met au travail. A minuit moins cinq, il appelle Cantuña pour qu'il verifie que le travail est bien fait.
Cantuña inspecte tous les recoins de la cathedraleilme trouve rien a redire, jusqu'a ce qu'il s'apperçoive qu'une pierre manque, mais il est trop tard, minuit est passe et il doit donner son ame.
Afin d'accomplir d'aussi simples formalites que de confirmer un billet d'avion, nous avons risque notre vie le long de l'avenue Amazonas, l'une des arteres principales du Quito moderne, ou chaque changement de trottoir est synonyme d'une acceleration brutale du rythme cardiaque tant la circulation est dense et chaotique.
La veille de notre depart pour Otavalo on est alle deguster des empenadas (galettes de mais fourrees) dans un Quito colonial nouvellement amenage pour la vie nocturne, eclaire et tres securise par des policiers gentils qui disent buenas noches, qui aident a faire des creneaux et qui referment les portieres.
6 commentaires:
Bonjour les filles
Merci de nous faire partager vos premiers pas sur le nouveau continent.
"La mère" demande si vous avez froid et si vous supportez l'altitude?
A très bientôt.
Bisous
La Famille
coucou les cousines,un petit coucou de crest pour vous dire que l'on suit votre voyage avec attention. surtout moi, la géographe! Vous êtes des stars via le Dauphiné! on vous embrasse tous. Profitez bien et soyez prudente. Bisous. PS: ta marraine est très fière!
Salut les filles,
en fervant suporter, je réponds, Youpi Chouette, un projet qui se réalise c'est bien, un super projet c'est mieux..... Alors super Bravo....
Même si ça doit pas toujours être aussi facile que la construction d'une cathédrale en une nuit, je vous souhaite plein de courage, et pas trop de rencontre avec le diable....
Pour la Vidéo, Rémy peut m'appeler, (ou mail...), j'ai peut être une astuce de chargeur....
sinon je retse fidèle lecteur et attend vos news....
A +
Dominique de Saint'E
Coucou les filles,
Je suis votre route via ce blog...
J'espere que tout va bien pour vous,que vous en prennez plein les yeux et que les nuits sont pas trop dur...
J'espere que tout se passe bien!
C'est vraiment super ce projet!!!
Bisous...!
(Fait plein de jolie photo Doriss!:-)
Charlotte!
Coucou les Poulettes !
C'est avec plaisir que je découvre enfin ce blog que j'ai mis tant de temps à trouver!!!
J'espère que tout va bien pour vous et que le confort n'est pas trop sommaire et que vous avez réussi à vous décider sur le nombre de petites culottes...
Prenez soin de vous et faites attentions aux méchants!
Je vous embrasse très fort et vous dit à très vite dans vos aventures latinas !
BISOUS !!!
Amélie
Coucou c'est encore moi.
Privée d'internet pendant votre premier mois de periple, je me permet de laisser un commentaire sur tt.
Emilie pourra dire que c'est une vielle habitude de tout commenter mais c'est surtout pour marquer mon territoire;
en effet vous êtes ma soeur et ma cousine, j'y suis pour beaucoup dans vos recherches interieurs, sans moi vous ne seriez pas ce qu'vous êtes aujourd'hui.
c'est dc par ce message que je me remercie d'exister pour vous.
d'ailleurs je ne parle que de moi.
votre lizon qui vous manquent.
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